Sonasid essaye de jouer son rôle de leader en créant de la volatilié sur les prix pour dissuader les importateurs de produits de sidérurgie. En parallèle, la société réduit tant bien que mal ses charges fixes pour rester compétitive.
Dans un contexte difficile, la production de DLM affiche en 2012 un recul de 11%. La société mise sur le déploiement des synergies géographiques et sur un recentrage sur des activités à forte valeur ajoutée.
• Les publications 2012 ont révélé l’une des grandes tares de notre Bourse, à savoir la qualité de l’information financière en temps de crise. • La méfiance entre émetteurs et investisseurs, notamment les petits porteurs, est à son comble λ Les premiers ont brillé par l’amateu
La filiale du Crédit agricole France a réalisé en 2012 un bénéfice net part de groupe (BNPG) de 349 MDH, en hausse de 5,1% par rapport à 2011. Le PNB s'établit à 2,1 Mds de dirhams, en hausse de 1,9% seulement par rapport à 2011. C’est la maîtrise du coût du risque qui a permis l’am
Bank Al-Maghrib prépare le projet de création d’un Charia Board, garant de la conformité des produits de la finance islamique. Les experts marocains flattent l’expérience malaisienne, mais sous certaines réserves.
A fin 2012, le chiffre d’affaires consolidé a affiché une hausse de 7,6%. Celle-ci est attribuable à l’interurbain qui a augmenté de 14,5%. Le résultat net part du groupe ressort à 23,5 MDH contre 28,3 MDH en 2011. Le résultat net de CTM SA a enregistré une baisse de 26,1%.
Les opérateurs sont très sceptiques parce qu’ils sont mal préparés, n’ont aucune visibilité sur les impacts de certaines mesures de la LF 2013 et disposent de peu de réponses aux questions posées. Ils se plaignent du manque de clarté des règles d’application de la loi 32-10, du comme
• La comptabilité financière, censée être un système neutre d’appréciation des résultats et du patrimoine d’une entreprise, n’est pas si «neutre» que cela. • Les états de synthèse qui en sont issus sont une sorte de bulletin de notes que les dirigeants présentent aux acti
● Le niveau des impayés est maîtrisé et reste inférieur à celui du marché. ● Eclairage de Laila Mamou, présidente du Directoire de Wafasalaf.
L’accord s’inscrit dans le cadre du Programme d’aide aux échanges commerciaux (PAEC).