En l’espace d’un mois, le manque de liquidités bancaires s’est accentué de plus de 2 Mds de DH. Estimée en juin 2013 à plus de 60 Mds de DH, cette sous-liquidité est devenue une contrainte structurelle eu égard à son exacerbation lors des six dernières années.
Avec un rendement de 4,6% sur la base des cours de la fin du mois de juillet, la place casablancaise paraît être l’une des plus généreuses des pays de la Méditerranée. Un point positif pour l’image de la Bourse de Casablanca, mais qui cache un mirage, celui de la concentration.
Pendant les six premiers mois de l’année, la filiale du groupe Attijariwafa bank a consolidé ses parts de marché en poursuivant sa politique commerciale agressive. Le chiffre d’affaires est ainsi ressorti à 3 Mds de dirhams, soit un niveau identique à celui du premier semestre 2012. Le b
Le partenariat public-privé s’est érigé aujourd’hui comme un mode de structuration par excellence des projets d’infrastructures. D’aucuns estiment qu’il est même devenu un paramètre contextuel clé dans la mutation des finances publiques en proie à des problèmes structurels. Qu’e
Selon le CDVM, la performance des fonds actions est de plus de 4% depuis le 1er janvier, alors que leur actif net baisse de 0,16%. L’actif net des fonds monétaires baisse de 10,7% depuis le début de l’année et les fonds obligataires moyen et long termes continuent de drainer le plus de cash
A fin mai 2013, comparativement à la même période de 2012, l’exécution de la Loi de Finances laisse apparaître une hausse de 8,9% des dépenses ordinaires, combinée à une chute de 0,8% des recettes ordinaires. Ces deux facteurs ont, à l’évidence, accentué le déficit du Trésor.
Le FMI vient d’abaisser ses prévisions de croissance économique dans le monde à 3,1%, soit une quasi stagnation par rapport à l’année dernière. Dans les faits, si les risques persistent en Europe, de nouvelles contraintes apparaissent, cette fois, dans les pays émergents. Dans sa note, l
Suivant la même tendance que l’année précédente, le marché boursier a clôturé le premier semestre sur une note négative, souffrant, entre autres, de la concurrence du marché obligataire, où les taux ont connu une hausse considérable. S’ajoute à cela un contexte économique difficile
Depuis quelques mois la Bourse de Casablanca et le ministère de l’Economie et des Finances mettent en avant le projet de création d’un compartiment dédié aux PME.
Selon les dernières études du Centre marocain de conjoncture, les recettes fiscales ont connu une augmentation de 7 points de PIB en une décennie. Aussi surprenant que cela puisse paraître, la pression fiscale s’accentue tandis que le rendement fiscal s’érode. Les derniers chiffres de la