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Outre les céréales et les légumineuses, la garantie devrait couvrir d’autres filières comme l’arboriculture, les viandes rouges, l’aviculture et les maraîchères. L’Etat subventionne la prime de 50 à 70%, selon la superficie garantie.
Le taux d’accroissement annuel du SIAM varie entre 11 et 14% au niveau de tous les pôles. Jawad Chami, commissaire du SIAM, donne son point de vue sur les perspectives de cette grand-messe agricole.
La filière peut générer un volume d’affaires de 11 Mds de DH. Elle crée des opportunités à plusieurs niveaux.
Le pilier II du PMV a déjà bénéficié de 6,3 Mds de DH depuis le lancement du programme. Les explications de Mohamed El Guerrouj, DG de l’Agence de développement agricole.
85% des exploitations ont moins de 3 vaches laitières. Alors que les fermes ayant un aspect industriel, forte-ment intégrées avec l’espace et qui ont plus de 1.000 vaches ne représentent que 1% de l’ensemble de la filière.
Le deuxième contrat-programme signé entre l’Etat et la profes-sion prévoit d’augmenter le rendement par hectare. L’objectif est d’atteindre 62% de la couverture des besoins nationaux à l’hori-zon 2020.
L’agriculture solidaire assure une bonne partie de la sécurité alimentaire. Il faut revoir notre politique de l’export, prospecter de nouveaux marchés et assurer notre compétitivité. Les explications de Ahmed Ouayach, président de la Confédération marocaine de l’agriculture.
La politique des barrages a permis de développer des périmètres irrigués à travers le Royaume. L’Etat encourage les systèmes d’irrigation économes en eau dont la logique d’investissement est basée sur les subventions qui peuvent aller jusqu’à 60% du projet et sur des solutions techn
La ville ocre est pendant quelques jours la capitale mondiale de la libre concurrence. Elle accueille en effet depuis le 22 avril la conférence annuelle du Réseau international de la concurrence sous le thème : «Des marchés intérieurs compétitifs : une base pour stimuler le commerce et la com
Les der nières statis-tiques de la Banque centrale font ressortir un alourdissement du défi-cit commercial de 5,3% à fin février de cette année en comparaison à la même période de 2013. En revanche, les exportations inhérentes aux métiers mondiaux du Maroc (MMM), à l’excep-tion du texti