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Le Plan Maroc Vert a véritablement propulsé l’aviculture nationale au rang de filière agricole majeure. Celle-ci génère un chiffre d’affaires de 30 Mds de DH, avec des investissements tournant autour de 8,7 Mds. Sa principale singularité est qu’elle parvient tant bien que mal à satisfai
Dans le cadre de ses missions de promotion des exportations nationales, Maroc Export, en collaboration avec l’Association marocaine des industries du textile et de l’habillement (Amith), organise l’expédition de 8 entreprises marocaines dans le cadre d’une mission de B to B en Côte d’Ivo
Avec son caractère obligatoire, l’assurance auto domine la branche Non-Vie. Durant les années fastes, les excédents dégagés par les compagnies d’assurances en matière de placement leur ont permis d’appliquer des tarifs défiant toute concurrence. Ce qui biaise les règles du marché. Lâ€
De la création de la Somaca en 1960 à l’arrivée des multinationales qui accompagnent l’usine de Renault à Tanger, l’industrie automobile au Maroc change de face. Les équipementiers continuent de miser sur le Maroc avec un engouement sans pareil pour la capitale du Détroit.Â
Le marché de l’occasion devrait s’organi-ser davantage avec le lancement de l’ar-gus de l’automobile. C’est une démarche impulsée par l’Association des importa-teurs de véhicules au Maroc (AIVAM).Â
Au terme des quatre premiers de l’année, le marché des véhicules neufs au Maroc a totalisé 36.704 unités contre 41.647 au cours de la même période de l’année dernière, soit une baisse de 11,87%.Â
Les différents rapports du HCP n’ont cessé de pointer du doigt l’inégalité entre l’homme et la femme sous l’angle des droits politiques, économiques et sociaux au Maroc et, ce en dépit du fait que la Constitution de 2011 consacre l’égalité entre les deux sexes.
Après l’Université internationale de Casablanca et la rencontre au sein du Conseil économique, social et environnemental, la Directrice générale du Fonds monétaire international, Christine Lagarde, accompagnée par le ministre de l’Economie et des Finances, Mohamed Boussaid, et le Gouverne
C'est une autre place défavorable pour le Maroc. Le pays est classé au 121ème rang sur 178 concerant les conditions de vie des mères. Plusieurs critères sont retenus comme l’accès aux soins, le niveau de scolarité, le revenu et le niveau d’alimentation de la mère et de son bébé.
Si l’on regarde les banques occidentales, on remarque que beaucoup reste à faire chez nous pour atteindre certains standards dans la relation client.