Un chiffre d’affaires en baisse de 28% par rapport au S1 2011 et un résultat net toujours négatif. Lancement d’un plan d’optimisation des coûts. Le président de la société dément toute difficulté financière au sein de la société.
Des rumeurs placent Qtel et Etisalat en tête de liste pour une éventuelle entrée dans le tour de table de l’opérateur historique. Les raisons d’une cession programmée.
Légère hausse des actifs gérés. Les obligations très sollicitées par les investisseurs.
L’Office des Changes accorde des facilités au titre de l’assistance technique et de prestations diverses pour les entités ayant un statut CFC. Et leur assouplit les dispositions relatives à l’ouverture de comptes en devises ou en dirhams convertibles.
Les acteurs du secteur de la microfinance ont annoncé, lors du Symposium international de la microfinance, le lancement d'une stratégie nationale. Elle repose sur 49 actions organisées autour de 7 leviers stratégiques.
Les ventes augmentent, mais les risques aussi. L’activité à l’international commence à porter ses fruits. Globalement, le marché sanctionne.
30% des communes ne sont pas encore desservies par le réseau de distribution. Au Maroc, 1000 DH génèrent 200 DH de surplus de revenu mensuel. Les études d’impact sur le micro-crédit partout dans le monde ont montré que l’amélioration des revenus est tangible. Eclairage de Youssef Benchekr
Après avoir été le pionnier de la microfinance dans la région du Maghreb, le Maroc enregistre aujourd’hui un retard sous l’aspect juridique et législatif, comparativement à d’autres pays de la région. La SFI contribue au développement socioéconomique du Maroc en nouant des partenariat
La création du CMS en 2007 vise à accompagner le secteur de la microfinance dans la formation, la détection des besoins et la réalisation des études de terrain pour évaluer l’état d’avancement du secteur. Youssef Errami, directeur exécutif du Centre Mohammed VI de soutien à la microfina
Bank Al-Maghrib adopte une stratégie réactive pour répondre aux besoins de financement. Mais en temps de crise, la baisse des taux d’intérêt reste insuffisante pour déclencher une dynamique économique. Le point avec Otmane Gair, économiste, président du Centre d’études et de recherches