Youssef Baghdadi, président du Directoire de Dar Assafaa, société de financement spécialisée dans la finance alternative, revient sur les enjeux de cette niche de financement et explique l’intérêt économique de ces produits. Un intérêt qui dépasse les considérations religieuses.
Managem et sa filiale SMI viennent de publier leurs résultats au titre du premier semestre. Les deux minières ont affiché des bénéfices en baisses respectives de 19% et 7%. Elles ont limité la casse malgré le décrochage des cours internationaux (les cours de cobalt et d’argent ont baissé
Les conditions nécessaires pour maintenir une entreprise à la cote concernent principalement le respect des conditions et des engagements prévus en termes de capital et d’actions diffusées auprès du public. Par ailleurs, l’entreprise ne doit pas dépasser trois exercices sans distribuer de
Le sit-in de l’UMAG est suspendu après que les compagnies ont accepté d’ouvrir le dialogue et qu’une feuille de route a été fixée. Le point avec Jamal Diwani, président de l’Union marocaine des agents généraux (UMAG).
Supporter les impayés des assurés, renouvellement automatique de certains contrats ou retards dans les versements des primes dues aux compagnies d’assurances, sont autant de phénomènes courants qui régissent la relation agent/compagnie d’assurance. Mais attention aux excès qui peuvent met
Les émetteurs sur le marché financier marocain se sont généralement conformés aux dispositions légales et réglementaires en 2012. Le CDVM n’a rien relevé d’alarmant à ce sujet. En revanche, six opérateurs de marché (sociétés de gestion et sociétés de Bourse) ont été sanctionné
Aujourd’hui, l’actif net des OPCVM représente 111,2% de l’épargne nationale et 29% du PIB, soit un montant total de 241 Mds de dirhams. Une progression à deux chiffres depuis 2008. Comment est réparti cet argent ? Quels sont les OPCVM les plus convoités ? Et quels ont été leurs perform
En l’espace d’un mois, le manque de liquidités bancaires s’est accentué de plus de 2 Mds de DH. Estimée en juin 2013 à plus de 60 Mds de DH, cette sous-liquidité est devenue une contrainte structurelle eu égard à son exacerbation lors des six dernières années.
Avec un rendement de 4,6% sur la base des cours de la fin du mois de juillet, la place casablancaise paraît être l’une des plus généreuses des pays de la Méditerranée. Un point positif pour l’image de la Bourse de Casablanca, mais qui cache un mirage, celui de la concentration.
Pendant les six premiers mois de l’année, la filiale du groupe Attijariwafa bank a consolidé ses parts de marché en poursuivant sa politique commerciale agressive. Le chiffre d’affaires est ainsi ressorti à 3 Mds de dirhams, soit un niveau identique à celui du premier semestre 2012. Le b