Finances News Hebdo : Cela vous fait quoi d’être invités à nouveau ? Julien Cassarino : C’est royal ! Nous avons déjà joué au Maroc, à L’Boulevard, en 2008. Certes, je n’étais pas encore dans le groupe, car
Finances News Hebdo : Allez, on essaie d'intellectualiser ton pseudo qu’est Khtek. C’est provocateur, n’estce pas ? Khtek : C’est provocateur, la vérité. Voilà, il ne faut pas se voiler la face. J’empoisonnais la vie des gens par m
Il est vrai que L’Boulevard est loin de posséder les moyens, mais il n’en est pas moins avéré que malgré ses possibilités étriquées, il fait depuis 1999 la part belle aux jeunes talents et aux artistes émergents grâc
Samedi 24 septembre, 21h15. Le club du RUC se vide. Ses clients se dirigent, par flots, vers la scène, grossissant ainsi la foule qui y afflue de toutes parts. Qu’est-ce qui fait courir tout ce monde ? Haoussa, pardi ! Haoussa? Après plusieurs années parsem
C’est un paradoxe que de brosser, même à titre posthume, le portrait d’un personnage timide et réservé, jaloux de son anonymat. Hussein Miloudi, né en 1949, rêvait de se faire oublier au profit de sa peinture. Des égards, il s&rsqu
Avant d’entamer sa nouvelle programmation avec le soloshow de Mouhcine Rahaoui, le Comptoir des mines galerie accroche aux cimaises de son espace d’art à Casablanca (où sont tenues ses ventes aux enchères sous la bannière CMOOA) les temps forts de sa
«Les années heureuses sont les années perdues, on attend une souffrance pour travailler», écrivait Proust dans «le Temps retrouvé». Que dire alors si toute une enfance est synonyme de souffrance ? Probablement, ça donnerait un roman im
Lorsque meurt un musicien que l’on affectionne, on se révolte contre la malveillance et l’injustice qui nous privent de ses œuvres futures. Et l’on se dit que maintenant il faudra écouter en songe, dans une discothèque imaginaire, les airs qu&rs
Samira Bensaïd n’était encore qu’une gamine de 11 ans lorsqu’elle épata les téléspectateurs par son interprétation magistrale de la fameuse «Atlal» d’Oum Keltou ; à peine pubère, Aziza Jalal
Il y a plus d’un demisiècle, Taghazout n’était encore qu’un petit village de pêcheurs isolé, au nord d’Agadir. Ce n’est qu’à partir des seventies que sa baie, qui concentre sur 30 kilomètres une vingtaine de spots