Samedi 24 septembre, 21h15. Le club du RUC se vide. Ses clients se dirigent, par flots, vers la scène, grossissant ainsi la foule qui y afflue de toutes parts. Qu’est-ce qui fait courir tout ce monde ? Haoussa, pardi ! Haoussa? Après plusieurs années parsem
C’est un paradoxe que de brosser, même à titre posthume, le portrait d’un personnage timide et réservé, jaloux de son anonymat. Hussein Miloudi, né en 1949, rêvait de se faire oublier au profit de sa peinture. Des égards, il s&rsqu
Avant d’entamer sa nouvelle programmation avec le soloshow de Mouhcine Rahaoui, le Comptoir des mines galerie accroche aux cimaises de son espace d’art à Casablanca (où sont tenues ses ventes aux enchères sous la bannière CMOOA) les temps forts de sa
«Les années heureuses sont les années perdues, on attend une souffrance pour travailler», écrivait Proust dans «le Temps retrouvé». Que dire alors si toute une enfance est synonyme de souffrance ? Probablement, ça donnerait un roman im
Lorsque meurt un musicien que l’on affectionne, on se révolte contre la malveillance et l’injustice qui nous privent de ses œuvres futures. Et l’on se dit que maintenant il faudra écouter en songe, dans une discothèque imaginaire, les airs qu&rs
Samira Bensaïd n’était encore qu’une gamine de 11 ans lorsqu’elle épata les téléspectateurs par son interprétation magistrale de la fameuse «Atlal» d’Oum Keltou ; à peine pubère, Aziza Jalal
Il y a plus d’un demisiècle, Taghazout n’était encore qu’un petit village de pêcheurs isolé, au nord d’Agadir. Ce n’est qu’à partir des seventies que sa baie, qui concentre sur 30 kilomètres une vingtaine de spots
«Charter» décline les dimensions humaines et cosmiques, liées à tout ce qui concerne l’incompréhension de la religion, l’asservissement des femmes et leur exploitation de la manière la plus odieuse, à travers l’histoir
Impulsé depuis 1996 par l’Union européenne au Maroc, sous le signe Jazz européen- musiques marocaines, «Jazz au Chellah» s’est rapidement affirmé comme une étape décisive dans le cirque itinérant des festivals de 
2019, cette date-là restera inaltérablement gravée dans la mémoire des chevaliers servants de l’art madagascarien. Et pour cause : leur art, marqué du sceau de l’excellence, eut droit, en cette année bénie, à la disti