Le projet de jumelage institutionnel de l'Inspection générale des finances marocaine avec ses homologues française et portugaise devrait permettre au Royaume de mieux répondre aux exigences de la bonne gouvernance des finances publiques. Malgré le pacte de bonne gestion élaboré dès 2002, l
Le patronat met l’accent sur le renforcement de la compétitivité du tissu économique. Les ajustements fiscaux proposés portent sur l’IS, la TVA, la lutte contre l’informel et l’encouragement de la création de nouveaux emplois. Sur les retraites, la Confédération souhaite une séparat
Ce projet de jumelage institutionnel de l’Inspection générale des finances (IGF) marocaine avec ses homologues européens a été financé par un don de l’Union Européenne de 1,2 million d’euros (13,2 millions de dirhams).
Le symposium international sur les finances publiques de cette année a permis un partage d’expérience fécond entre le Maroc et la France, notamment en matière de développement économique territorial. Si les collectivités locales françaises constituent le fer de lance de l’investissement
Avec une part de 25,3% du PIB en 2012, le niveau de l’épargne nationale brute reste en deçà du niveau d’investissement nécessaire pour induire une dynamique de croissance forte et durable. La mise en place du PEL, du PEA et du PEE pour mobiliser l’épargne longue n’a pas encore produi
Moins de 2 mois à peine (le 8 juillet) après sa saisine par la Chambre des conseillers pour avis au sujet du projet de loi sur les établissements de crédit, l’institution présidée par Nizar Baraka a rendu sa copie. Et c’est peu dire que le Conseil ne s’est pas contenté de petites retouc
Mustapha Benhamza, le médiatique président du Conseil des oulémas de l’Oriental, et par ailleurs membre du CESE, a poussé un coup de gueule retentissant lors de la 41ème AGO du CESE, en plein débat, sur la finance participative.
En atteignant 28,7 Mds de dirhams à fin avril, le déficit budgétaire s’est creusé de 8,4 Mds de dirhams par rapport à la même période il y a un an. C’est une hausse de 41,5%, mais pour une fois elle profite à l’investissement dont les dépenses augmentent de 50% sur la période. Résul
Le ministère de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Economie Numérique lance pour l’année 2014 deux nouvelles éditions d’appel à projets pour les instruments de financement «Intilak » et «Tatwir».
Selon un rapport publié par Thomson Reuters, la finance islamique au Maroc aurait un potentiel estimé à 70 milliards de dirhams en 2018. Le Maroc dispose d’atouts indéniables de par sa position géographique, la résilience de son économie, sa stabilité économique et sa stratégie de servir