Cet acronyme est très peu connu au Maroc. Pourtant, il s‘agit des initiales d’une des plus grandes institutions nationales, avec laquelle des millions de Marocains ont des liens affectifs. Et pour cause, le titre foncier est considéré de tout temps comme un moyen d’assurance et de
La richesse biologique, qui présente un intérêt socioéconomique vital pour le Maroc, est de plus en plus menacée. Force est de constater que c'est une tendance mondiale, puisque la question n’a pas occupé une place importante lors de la COP21. Grâce à sa situation géographique,
Taux d’intérêt prohibitifs, systématisation de la demande de garantie, longs délais de traitement des dossiers, la liste des griefs rendant difficile l’accès des TMPE au finan-cement pourrait encore s’allonger. Néanmoins, il existe une réelle volonté chez les organismes publics pourv
Intervenant récemment lors d'une conférence-débat organisée par la Banque privée du Groupe Banque Populaire, le ministre des Finances, Mohamed Boussaid, a longuement commenté les réalisations de 2015 et les prévisions du gouvernement. Tout en se montrant rassurant, le m
Ahmed Rahhou, président Directeur général de CIH Bank, et Amin Benjelloun Touimi, Directeur général de Barid Al Maghrib, ont récemment procédé à la signature d’une convention cadre permettant à CIH Bank d’avoir accès au registre national de l’auto-entrepreneur. L’implémen
La passation des pouvoirs entre Hassan Boulaknadal et Nezha Hayat s'est effectuée le 10 février au ministère des Finances. Une nouvelle ère pour le marché financier marocain. Tour d'horizon des défis que devra relever le nouveau régulateur. En nommant Nezha Hayat à la tête de l'
Lors du Conseil des ministres, tenu samedi 6 février à Laâyoune, Hassan Boubrik, directeur de la DAPS, a été nommé président de l’Autorité de contrôle des assurances et de la prévoyance sociale (ACAPS). C'est le début d’une régulation et d’une supervision encore plus strictes.
Les fondamentaux de nos relations économiques et financières externes n’ont rien de plus encou-rageant, comparativement aux années 80, pour justifier une libéralisation des mouvements de capitaux et une convertibilité du Dirham. La situation actuelle est bien plus fragile, voire dangereuse,
Le basculement de quelques établissements publics affiliés à la CIMR ou à la CNSS au RCAR n’est apparemment pas encore, à l’ordre du jour. Une non-conformité à la loi qui date depuis au moins trois décades, et qui constitue un manque à gagner certain pour le pôle public. D
Faut-il supprimer la contribution de l’Etat au régime de pension de retraite des parlementaires ? Recentrer le débat sous cet angle, loin de toute polémique politicienne, soulève l’épineuse problématique de sauvegarde des acquis. Supprimer le régime actuel géré par la CNRA à la faveu