■ Pas moins de 3.000 visiteurs à cette première édition du Devcom.■ Plusieurs thèmes ont été présentés lors de cette rencontre, notamment celui relatif à la communication financière.
■ Les placements en actions sont considérés comme risqués pour les investisseurs particuliers.■ Un analyste conseille le recours aux OPCVM monétaires.
■ La vente à découvert demeure une pratique illégale, mais largement répandue.■ Le contexte actuel du marché plaide en sa faveur. Mais les avis divergent.
■ L’infrastructure de base est le noyau du développement du continent■ Brahim Benjelloun Touimi prévoit d’installer le groupe BMCE dans tout le continent africain.
■ Les crédits syndiqués ont souvent pour objectif de financer les gros investissements initiés par des Etats et des entreprises.■ Ce type de crédits bénéficie surtout aux banques qui sont tenues de respecter les ratios de solvabilité.
■ La conjoncture internationale hostile, accompagnée d’un marché boursier marocain baissier, joue contre la reprise du dynamisme de la place.■ Le timing des IPO et la taille de l’opération sont parmi les raisons qui expliquent le manque de succès des introductions en Bourse.
■ Le marché boursier casablancais bruit de rumeurs, et plusieurs sociétés cotées en ont fait les frais. ■ Des rumeurs souvent amplifiées par le déficit de communication des dirigeants d’entreprise.
■ Le montant de l’opération s’élève à 2,5 Mds de DH.■ L’emprunt servira, entre autres, à financer son programme d’investissement.
■ Il n’existe aucun Etat isolé qui soit capable de sortir de la crise.■ L’Europe est à la limite du cyclone, spécialement avec le problème de la dette souveraine en Grèce, les problèmes de l’Italie et autres.■ L’économie marocaine se porte bien au vu de l’ensemble des indic
■ Le secteur bancaire a une taille importante, puisqu'il représente plus de 110 % du PIB. ■ Le ratio de solvabilité du système a atteint 12,3 % à fin 2010, contre 11,8 % en 2009.■ Les créances douteuses ont diminué régulièrement pour s'établir à 4,8 % du total des crédits.