Le MASI teste un nouveau plus bas. La dégradation des agrégats économiques aggrave la situation.La Bourse de Casablanca est en pleine dépression et confirme le trend baissier entamé depuis un an et demi. L'étroitesse du marché et l’illiquidité de la majorité des titres cotés ne font qu'a
L’IMA mandaté par le CDVM pour mener l’enquête. Le gendarme du marché n’imposera rien aux sociétés cotées à l’issue de l’enquête.
Un nouveau plus bas et 65,6 Mds de dirhams évaporés depuis le premier janvier. Un crash discret depuis 2 ans.
Le taux directeur maintenu à 3%. Le déficit public devrait se situer entre 5% et 6% du PIB à fin 2012. L’inflation se situerait à 2%.
«La CGEM a dédié trois commissions pour la PME. La première s’appelle commission PME qui gère tout ce qui est transversal dans la petite et moyenne entreprise. La seconde c’est la PME et les grandes entreprises, elle permet de créer des passerelles, le maillage qu’il faut entre les grand
La neutralité de la TVA parfois remise en cause. Le crédit TVA est une immobilisation de la trésorerie de l’entreprise qui pèse lourdement sur son activité.
La Bourse de Casablanca lance aujourd’hui une large campagne de communication ciblant, dans un premier temps, les entreprises avant d’entamer la deuxième étape qui sera destinée aux investisseurs.
Au moment où nous mettions sous presse, 18 entreprises, soit 51% de la capitalisation, avaient publié leurs comptes. Multiplication des profit warning. La capacité bénéficiaire en baisse de 13%.
Après une longue hésitation, la Banque centrale marocaine s’apprête à autoriser les banques islamiques au Maroc sous l’appellation, toutefois, de banques participatives.L’article 52 du projet de loi précise que les banques participatives sont des personnes morales habilitées à exercer
Le contrôle budgétaire procède d’une approche plus juridique et analytique que d’une vision systémique et systématique. Il faut éviter tout risque de redondance, de superposition ou de duplication et asseoir des contrôles convergents et complémentaires.