La crise européenne constitue un véritable défi pour l’économie nationale. La LF 2013 est pauvre en mesures favorisant la compétitivité du tissu économique. Le chiffre d’affaires des coopératives ne sera imposable qu’au-dessus du niveau de 10 millions de dirhams.
• Les dispositions fiscales concernant le financement du Fonds de cohésion sociale risquent de faire diminuer la capacité d’investissement des entreprises et le pouvoir d’achat des consommateurs. • Si les prix des produits de base sont décompensés, l’inflation sera de loin supérieure
La nouvelle taxation du segment de l’occasion devrait assurer à l’Etat des recettes de 220 MDH. Le droit des douanes sur les pick-up ramené à 10%.
Pour financer le Fonds de solidarité de l’habitat et lutter contre la spéculation foncière, de nouvelles taxations sont arrêtées. Les incitations dédiées à la classe moyenne rejetées par les promoteurs.
Les droits de douane réduits à 2,5% pour l’importation du blé et veaux. Harmonisation de la TVA au taux de 7% aussi bien en amont qu’en aval de l’industrie provendière.
• Les dirigeants ont considérablement investi dans les outils décisionnels. Toutefois, le retour sur investissement est jugé décevant. Dans bien des cas, ils se retrouvent avec des systèmes ne correspondant pas à ce qu’ils ont acheté, ou plus cauchemardesque, fournissant des chiffres tout
Une campagne agricole favorable devrait impacter positivement les revenus du secteur. Les investissements des sociétés cotées reflètent le potentiel du secteur.
Il devrait profiter du dynamisme du secteur automobile et de la grande distribution. L’élargissement du réseau de distribution de quelques opérateurs booste les performances sectorielles.
La concurrence est rude entre les opérateurs téléphoniques nationaux et les prix des services ne font que baisser. Ce qui lamine la profitabilité de Maroc Telecom qui accuse une baisse continue de ses parts de marché. En revanche, les choix stratégiques de la société se révèlent judicieux,
Les investisseurs boursiers intéressés par le secteur bancaire seront sans doute déçus en 2012, à en croire les chiffres de la Banque centrale qui montrent une décélération de l’activité de crédit. De plus, les résultats semestriels des banques cotées montrent une hausse vertigineuse d