Malgré une conjoncture difficile, le chiffre d’affaires a connu une hausse de 17%. Mise en place de nouvelles orientations stratégiques.
Depuis la fin des années 90, l'activité a touché progressivement, et de plus en plus, le marché domestique. Ce secteur attire de plus en plus d’opérateurs. Lancement du factoring inversé par la Banque Centrale Populaire.
Une stratégie commerciale agressive avec l’ouverture de 97 agences en 2011. Un PNB consolidé de 10,2 Mds de DH et un RNPG de 1,83 Md de DH contre 1,77 Md de DH l’exercice précédent. De fortes ambitions d’ici 2014.
Malgré de bonnes performances, le marché reste sourd à la publication des résultats. Gros décalage entre les fondamentaux des entreprises et l’évolution du cours de leur action.
La modernisation du système financier passe nécessairement par la mise en place de produits dérivés. Ils pourraient attirer davantage d'investisseurs étrangers et contribueraient fortement à l’augmentation de la liquidité.
Le Maroc fait partie des cinq premiers pays receveurs. Deux opérateurs s’accaparent plus de 70% de parts de marché. Un marché juteux, mais où la rétention de l’information est criante.
Casablanca prend Londres pour exemple. La réglementation doit suivre les ambitions de la MBF. Le développement du marché des capitaux nécessite l’instauration de nouveaux instruments financiers.
Les seniors sont actuellement l'une des cibles privilégiées des sociétés de financement. Plusieurs accords ont été signés afin de leur faciliter le recours au crédit.
Un nombre d’agences en hausse de plus de 20 % en 2011. Une stratégie de développement basée sur la multiplication des partenariats.
Un protocole d’accord entre «The CityUK» et le «CFC» est en cours de préparation. La place marocaine présente des atouts et opportunités non négligeables pour les investisseurs étrangers. La pression des problèmes de liquidités se fait sentir.