Dans des écosystèmes à haut potentiel économique, la contribution de la forêt à l’économie nationale peut être supérieure à 5% du PIB. Désormais, il est important de réfléchir à la manière de définir les indicateurs de suivi socio-économiques et environnementaux pour les projets f
Le montant global distribué au titre de l’année 2011 baisse de 5,6 % Maroc Telecom distribue 43,86% du total de la masse bénéficiaire du marché. La dégradation des bénéfices implique l’abaissement relatif du dividende par action.
Le résultat net du marché accuse une baisse de 1,3% à 29,91 Mds de DH en 2011. Le secteur des NTI est à la tête des contre-performances sectorielles avec un repli de 90,8% du résultat net.
Le chiffre d’affaires a enregistré une hausse de 35% pour l’année 2011. Le résultat net s’est établi à 154 MDH, contre un déficit de -54 MDH l’année précédente.
La nouvelle recrue de la Bourse légèrement impactée par l’instabilité politique de ses marchés traditionnels. Baisse du résultat net de 5,4 % en 2011.
Le social pésente des perspectives plus qu’alléchantes pour les groupes opérant dans ce segment. Integra Bourse a diffusé dernièrement une note sectorielle recommandant à l’achat les valeurs d'Addoha et d’Alliances.
En 2015, le Groupe Crédit Agricole du Maroc (GCAM) affiche un PNB consolidé de 3,2 milliards de DH, en hausse de 6%. Les bénéfices sont au rendez-vous avec un résultat net part du groupe (RNPG) en hausse de 6% à 541 millions de DH. La banque a recruté 300.000 nouveaux clients sur la périod
Le chiffre d’affaires consolidé progresse de 66%, le résultat net de 125% et le RNPG de 96%. Des perspectives fortement prometteuses pour le Groupe. Des carnets de commandes en hausse dans tous les pôles.
Le Royaume représente un marché intéressant pour le développement de la finance islamique. Les banques islamiques sont, pour le système financier, porteuses de risques qui diffèrent à bien des égards de ceux connus par les banques conventionnelles. Anouar Hassoune, consultant à l’Islami
Le marché Actions marocain affiche une quasi-stagnation de sa masse bénéficiaire à 29,9 Mds de DH. Contrairement à l’accoutumée, c’est le secteur télécoms qui y a le plus contribué.