• Les publications 2012 ont révélé l’une des grandes tares de notre Bourse, à savoir la qualité de l’information financière en temps de crise.
• La méfiance entre émetteurs et investisseurs, notamment les petits porteurs, est à son comble λ Les premiers ont brillé par l’amateurisme de leurs communications financières, les seconds ont riposté en enfonçant davantage la place casablancaise dans le marasme.
• Il s’agit d’un exercice de style auquel peu de dirigeants marocains sont rompus
• Ce sont également des processus de communication à mettre en place et des traditions de transparence à instaurer.
• C'est un investissement peu coûteux pour l’entreprise mais dont le retour est direct et immédiat car il agit directement sur le cours de l’action et, donc, sur la valeur de l'entreprise.
• Alors pourquoi et jusqu’à quand l’ignorer ?