La croissance que connaît la ville de Casablanca a été bénéfique pour la filiale du groupe Suez Environnement. Portés par une forte demande émanant des industriels et le raccordement de nouveaux clients, les résultats de Lydec connaissent une amélioration qui dépasse les prévisions.
La cinquième édition des Intégrales de la finance organisée par CDG Capital a été l’occasion de faire intervenir banquiers, décideurs, opérateurs de marchés et investisseurs d’horizons et de cultures différentes pour débattre d’une thématique capitale pour la finance : la gestion e
Quel meilleur cas pratique pour évoquer la problématique du risque que celui de la dernière crise financière ? On y retrouve tout le catalogue de ce qu’il faut et ne faut pas faire en matière de gestion du risque. Pour les banques marocaines, aux portes d’un processus de réformes, il s’a
Les mesures dérogatoires ont particulièrement foisonné entre 2010 et 2013 (passage de 384 dispositions à 412). Au-delà du montant (34 Mds de DH), la question qui doit prévaloir, selon certains experts, est l’opportunité des dépenses fiscales (secteurs, bénéficiaires, objectifs).
Dans une première au Maroc, un groupe de petits porteurs a décidé de publier sa propre analyse technique de quelques valeurs cotées.
Dans l’optique de rationaliser la création des SEGMA et de renforcer l’intégration de la décision budgétaire, ces entités devront couvrir au moins 50% de leurs charges par des recettes propres. Or, il se trouve que certaines d’entre elles ne compensent qu’un tiers de leurs dépenses.
2014 sera l’année du renouveau pour la place financière de Casablanca. En effet, la Direction du Trésor et des finances extérieures (DTEF) et la Bourse de Casablanca travaillent main dans la main pour mener à son terme une série de réformes afin de donner un nouveau souffle au marché finan
Malgré une conjoncture mondiale en légère amélioration, et les efforts du gouvernement en matière de réduction des déficits, la dette publique continue de croître de manière inquiétante. Sur les onze derniers mois de l’année, la hausse est de 12,6% à 553,8 milliards de dirhams, soit 85
«Intégrer des données sociales et environnementales dans la communication périodique des entreprises cotées», telle était la problématique débattue à la Bourse de Casablanca mardi dernier en présence de Nizar Baraka, président du Conseil économique, social et environnemental (CESE),
En 2003, il existait 130 comptes spéciaux au Maroc contre 79 seulement en 2013. Ces comptes gérés par le ministère des Finances font l’objet de polémiques, car ils ne respectent pas les règles budgétaires de base tout en échappant au contrôle. Une opacité nécessaire pour certains, antic