Le Maroc nourrit de grandes ambitions de développement afin de consolider sa centralité régionale et internationale. La politique d’aménagement du territoire constitue une pierre angulaire de ce dessein à même de précipiter l’émergence du pays. Toutefois, les écarts de développemen
La BCE a tourné le dos au dogme de «l’Euro fort» pour adopter une politique monétaire plus audacieuse à l’américaine. La faible liquidité du Dollar pourrait se traduire par la dégringolade d’autres monnaies. Pour un pays comme le Maroc, en quête d’émergence, n’est-il pas temps de
C’est en revenant de sa visite d’Algérie que le président de la CAF a joué au fier-à -bras et sommé le Maroc de choisir entre organiser la Coupe d’Afrique de football ou se désister de manière définitive. Autrement dit, un dilemme cornélien.Â
11 Mds de dirhams sont programmés dans le cadre de la politique de la ville. 36 projets sont déjà signés et 52 en cours de signature. Les villes nouvelles ont besoin d’un système fiscal incitatif pour leur développement.
Inscrite comme un axe essentiel de son activité, Dar l’ftour est un programme en faveur des personnes démunies que Coca Cola honore régulièrement, en particulier au mois de Ramadan.
C'est dans le prolongement des grandes orientations constantes de la politique étrangère marocaine à savoir :  la défense de l’intégrité territoriale, la situation géographique sur la rive sud de la Méditerranée, l'attachement  aux valeurs universelles de paix et de tolérance que s'in
Dans le cadre de la stratégie «Politique de la ville» initiée par le Maroc, plusieurs projets concrets concernant les villes sont en cours de réalisation, à travers des contrats-programmes, pour une enveloppe globale d'environ 18 milliards de dirhams. Selon le Chef du gouvernement, Abdelilah B
La politique des barrages lancée par le Maroc depuis l’Indépendance a montré sa pertinence. Plus d’une centaine d’ouvrages existent déjà avec une capacité de 20 milliards de m3 et une vingtaine d’autres sont en projet. Il faut dire que la stratégie hydrique du Royaume a permis d’Ã
Malgré les efforts déployés, le Maroc peine à relever le défi de la compétitivité. L’un des facteurs les plus importants demeure la réglementation de change. Au moment de la crise financière, la valeur du Dirham est restée à l’abri des fluctuations des marchés, mais à quel prix ?
Une dévaluation du taux de change permet de générer un excédent commercial, mais un tel changement n’est pas aussi systématique. Face à une montée des pratiques déloyales émanant d’autres pays, le concept de libéralisation des échanges doit être pris avec beaucoup de précautions. Br