Il faut dire que Dada a encore frappé. Après un retour de flamme avec Moral le 1er mai 2021, puis, deux mois plus tard, aux côtés des Aykonz, le rappeur amazigh mène un flow sous haute tension au rythme de son nouveau single tapageur, B2*. Le
Souvent méconnu du grand public, le directeur de la photographie (ou chef opérateur) joue un rôle fondamental auprès du metteur en scène, dont il applique les instructions quant au réglage des éclairages et la délimitation des cadrages
En radio, ceux qui ont essayé s'y sont cassé les dents: personne n'a encore trouvé la recette miracle pour les très jeunes auditeurs. En télévision, c'est exactement l'inverse. Avec ses programmes variés is
Créée par la start-up Good Fellows, à l’initiative du réalisateur Nabil Ayouch et de Ali n’ Productions, cette plateforme répond à un besoin culturel essentiel. «Les Marocains, et en particulier la jeunesse de notre pays,
La publication de ce livre, qui met en lumière les recherches et l’œuvre du défunt en rapport avec cette thématique poétique, intervient en reconnaissance à la riche contribution de ce chercheur membre dudit club, lit-on dans la préface
Traduite en catalan par Elisabet Ràfols-Sagués, dans le cadre d’un échange entre le Théâtre royal flamand (KVS) et le TNC, et mise en scène par Marie-Aurore d’Awans, la pièce de théâtre raconte l’histoire de Dou
Finances News Hebdo : Vous vous êtes aisément glissée dans le personnage d’Annatto. Etait-ce un personnage qui ne vous ressemble guère ? Nissia Benghazi : En réalité, le film «Annatto» relate l'histoire de ma famille. Donc,
Il fut une ère durant laquelle les marchés des commerçants marocains étaient très répandus dans les grandes villes sénégalaises. Certains commerçants migrants étaient accompagnés de leurs épouses, d’a
L'essai de 309 pages s'ouvre sur un «Pré-texte», qui traite des divers sentiers de l'indiscipline arborant l'image des artistes, savants, lettrés ou tout simplement passionnés «résolument réfractaires aux dogmes, qui pens
«Kan ya ma kan, hetta kan lahbaq wa soussan fhjer nbi lâadnan (il était une fois du basilic et du lys posés dans le giron du Prophète)». C’est par cette formule rituelle que les parents ou les grands-parents entonnaient leurs contes adress&eacut