Le Maroc, à l’instar des autres pays, a célébré récemment la Journée mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse sous le thème «Notre terre. Notre maison. Notre avenir».
Ces cultures couvrent une partie des besoins alimentaires et nutritionnels du cheptel. Elles jouent un rôle socioéconomique important puisqu’elles constituent une part de la trésorerie des agriculteurs. Les cultures fourragères jouent un r&ocir
Le rendement à l’hectare a sensiblement diminué, surtout dans les zones bours. Les prix des produits, notamment de l’huile d’olive, ont flambé vu la faiblesse de l’offre. C’est la saison des moissons des olives et de leur transformation. Cette filière, l’une des plus importantes
La Mamda a lancé l’opération un mois plus tôt que prévu. 200 experts sont mobilisés à cette occasion. Les primes démarrent à partir de 18 DH/hectare et l’indemnité peut atteindre les 900 DH. Après cinq années humides et de bonnes récoltes, la sécheresse a impacté la saison agr
L’heure de vérité pour le Plan Maroc Vert a sonné avec l’arrivée de la sècheresse. La stratégie qui tend à moderniser le secteur de l’agriculture et le rendre résilient n’a pas réussi à nous épargner un plan antisécheresse. Braqué sur le marché international, ce plan a péchÃ
Plus de 5 milliards de DH sont débloqués pour venir en aide aux fellahs. Les professionnels du secteur sollicitent une gestion efficiente de l’opération. L’approvisionnement en eau, l’aliment de bétail, l’état sanitaire du cheptel et l’assurance des exploitants sont les princip
Une croissance peu inclusive, des inégalités très frappantes… La libéralisation a réduit peu ou prou la pauvreté monétaire, mais pas celle multidimensionnelle. A la veille des élections et des crispations politiques, des tensions sociales risquent de surgir. Les principaux maillons faibl
Les mesures prises restent insuffisantes pour venir en aide aux fellahs les plus vulnérables, surtout dans les régions où le déficit hydrique est supérieur à 60%. La situation est assez satisfaisante dans les périmètres irrigués, mais le taux de remplissage des barrages recule à 62% contre