Le Directeur général de l’agence qui régule l’AMO et le Ramed (Régime d'Assistance Médicale) aurait touché un pot de vin de 470.000 DH. Jilali Hazim, Directeur général de l’Agence nationale de l&rsqu
Le Conseil du gouvernement qui s’est réuni jeudi à Rabat sous la présidence du Chef du gouvernement, Saad-Eddine El Othmani, a adopté deux projets de décrets censés muscler le dispositif national de lutte contre la corruption. Le
Ancien Secrétaire général de Transparency Maroc et actuel président de la Commission «Ethique et bonne gouvernance» au sein de la CGEM, Bachir Rachdi nous livre dans cet entretien un regard analytique sur le phénomène de la corruption au Maroc, à la lumière du dernier classement de Trans
Pour se donner des moyens à la hauteur de ses ambitions de développement et de gouvernance, le Maroc a érigé en 2011 en principe constitutionnel la lutte contre la corruption. Contre toute attente de la part du patronat et de la société civile, le nouveau projet de loi 12-113 relatif à l’In
Le diagnostic du cadre anti-corruption au Maroc, réalisé par le Conseil de l’Europe, a été présenté récemment à Rabat. «En dehors de quelques initiatives internes dans des institutions publiques spécifiques, il n’y a pas à ce jour une politique nationale de lutte contre la corruption,
L’opération anti-corruption menée par le Conseil supérieur de la magistrature, qui s’est soldée par la révocation définitive de certains juges et des mesures disciplinaires pour d’autres est à saluer à plusieurs niveaux. Les sanctions infligées serviront d’exemple pour purger une J
L’Inspection générale des finances (IGF) et l’Instance centrale de prévention de la corruption (ICPC) ont signé un accord de partenariat pour lutter contre la corruption dans les administrations publique. Ce partenariat s'insère dans une approche globale visant à créer une coalition natio
L’indice de perception de la corruption de Transparency International place le Maroc à la 88ème place sur 176 pays étudiés. Le Royaume occupe le 9ème rang au niveau des pays arabes, après la Tunisie.
Malgré les propositions formulées par l’ICPC à l’adresse des pouvoirs publics, la situation du Maroc en matière de lutte contre la corruption ne s’est pas améliorée de manière significative. La politique poursuivie à cet effet est jugée sans dimension stratégique et dépourvue d’un
La corruption continue de sévir au Maroc et le dernier classement du pays à ce sujet montre que le phénomène a empiré. L’instance nationale pour la lutte contre la corruption a enfoncé le clou, en confirmant sa progression.