L'Etat a signé deux contrats-programmes avec les filières sucre et oléagineux portant sur un montant d'investissement de 8 Mds de DH. Ceci entre dans le cadre de la stratégie pour renforcer la sécurité alimentaire. Pour le sucre, un produit alimentaire de base, le Maroc n'assure que 35% de se
Le taux de croissance prévu, en 2013 est de 4,8% contre 5,6% en 2008. Les effets de la crise de la zone Euro sur le Maroc persistent. Il sera difficile pour le gouvernement de redresser les finances publiques dans un contexte ou l’économie nationale prête le flanc à plusieurs facteurs e
• Les publications 2012 ont révélé l’une des grandes tares de notre Bourse, à savoir la qualité de l’information financière en temps de crise. • La méfiance entre émetteurs et investisseurs, notamment les petits porteurs, est à son comble λ Les premiers ont brillé par l’amateu
Avec l’essor des télécoms et de l’Internet, la cybercriminalité connaît une évolution qui devient inquiétante. La presse fait de plus en plus écho de bandes organisées ou de criminels qui ont investi la toile pour sévir. Ce genre d’agression n’a pas de limites ni de frontières.
98% de ces entreprises sont des SA RL. 24,5 Mds de DH ont été globalement investis.
L’activité assure la croissance continue des investissements, de l’emploi et des exportations. Les opérateurs locaux veulent tirer profit des opportunités qu’offre le plan Émergence.
Finances News Hebdo : Les commissaires aux comptes attirent l’attention sur le fait que la société Cartier Saada achète la quasi-totalité de ses matières premières auprès d’agriculteurs qui ne justifient pas leur identification fiscale. Comment Cartier Saada peut-elle justifier les quant
Des progrès ont été réalisés dans les relations Maroc-France, mais il reste encore des efforts à fournir. La crise qui frappe la France n’a pas affecté les relations entre les deux pays. J. R. Fourtou, coprésident du club des chefs d’entreprise France-Maroc, livre ses propos en marge de
Ils semblent sortir progressivement de la crise. L’Europe est bloquée pour des raisons politiques. Le Maroc devrait faire passer les questions économiques avant les questions politiques.
Le Centre régional d'investissement de la région Fès-Boulemane, en tant qu'outil de simplification des procédures administratives et de promotion des investisseurs dans la région, a accompagné la création de plus de 1.170 entreprises au niveau de la région à fin novembre 2012.