Ils semblent sortir progressivement de la crise. L’Europe est bloquée pour des raisons politiques. Le Maroc devrait faire passer les questions économiques avant les questions politiques.
Le Centre régional d'investissement de la région Fès-Boulemane, en tant qu'outil de simplification des procédures administratives et de promotion des investisseurs dans la région, a accompagné la création de plus de 1.170 entreprises au niveau de la région à fin novembre 2012.
La plupart des marques disponibles sur le marché réalisent une croissance à deux chiffres et même plus. Certaines ont établi des records en réalisant des ventes de plus de 200%, voire 1.000%.
Il s’agit d’un rallongement des amortissements et non d’une suspension. Longtemps convoités par les banques, les MRE trouvent de plus en plus de mal à se voir octroyer un crédit, notamment immobilier. Les recettes MRE sont en baisse de 3%.
La Confédération des TPE et PME estime que les programmes d’appui concoctés par l’Etat ne sont pas adaptés à la réalité du terrain. Abdellah Elfergui, président de ladite Confédération, revient sur la situation actuelle de ce tissu entrepreneurial.
Certains équipementiers marocains ont ressenti les effets du marasme économique en Europe.
Même si le déficit commercial est moins touché, la crise espagnole a impacté différents secteurs marocains, notamment le tourisme, le textile, l’agro-industrie… Le Maroc peut mieux se positionner sur le marché européen à travers l’Espagne. Nizar Baraka, ministre de l’Economie et des
La 4ème puissance économique de l’Europe vit des moment critiques à cause de la crise financière qui touche le pays depuis quelque temps. La crise pousse l’Espagne à revoir sa politique avec le Maroc et à renforcer les liens de coopération. Plusieurs secteurs marocains ont été impactÃ
Les inscriptions à la 4ème édition des Morocco Awards, l’évènement annuel qui récompense les meilleures marques marocaines, seront closes le 15 octobre prochain.
La confusion des genres entre intérim, sous-traitance et prestations de services ne fait que compliquer davantage les difficultés du secteur. Les entreprises publiques sont les premières à faire les frais de la précarité de l’emploi temporaire, puisque les intérimaires demandent à être re