Sous l’angle économique, nombreux sont les ministres qui revendiquent le sacré courage politique du gou-vernement Benkirane, qui a ouvert des dossiers chauds réputés pour leur impopularité aux yeux de l’opi-nion publique. Mais, il en faudrait bien plus pour convaincre certains économiste
Les professionnels marocains de la finance participative déplorent l’absence d’émissions de certificats de sukuks, que ce soit par l’Etat ou par de grandes entreprises. Une telle émission s’avère pourtant nécessaire au développement d’un marché de capitaux participatif, qui apport
Intervenant récemment lors d'une conférence-débat organisée par la Banque privée du Groupe Banque Populaire, le ministre des Finances, Mohamed Boussaid, a longuement commenté les réalisations de 2015 et les prévisions du gouvernement. Tout en se montrant rassurant, le m
Chaque année, quasiment à la même date, le cabinet de Conseil Mazars organise un petit-déjeuner et invite la presse spécialisée et ses clients pour parler des principales dispositions de la Loi de Finances. L'objectif n'est pas de passer en revue toutes les nouveautés, mais d'attirer l'attent
Tout porte à croire que la popularité du gouvernement Benkirane est ébranlée en ce début d’année 2016, sous l’effet conjugué de plusieurs facteurs. Trois séquences ont marqué la scène politique ces derniers jours au Maroc. «Enseignants saignants»Un, l’intervention musc
Durant ces quatre années, A. Benkirane a fait preuve d’audace, mais aussi d’hésitation. Sous son mandat, des réformes ont vu le jour, d’autres piétinent encore. Selon qu’on l’aime ou ne l’aime pas, chacun verra le verre à moitié vide ou à moitié plein. En tout cas, une année n
La dernière réunion hebdomadaire du Conseil de gouvernement a été riche en nombre de dispositions validées. Retour sur les trois principaux projets de décrets approuvés par l’Exécutif, en lien avec la tarification douanière du blé tendre, l’accessibilité des énergies vertes au résea
En 2004, le Maroc adoptait un nouveau code du travail dont le principal défi était de permettre le développement économique et de faciliter les avancées sociales. Dix ans plus tard, l’économie nationale a fait sa mue et les exigences sociales ne sont plus les mêmes. Ce qui pose légitimemen
Seules 5% des associations communiquent des informations sur l’état des lieux de leur financement alors qu’elles sont environ 60.000 à bénéficier de subventions publiques. Un système normatif dépassé, une négligence des pouvoirs concernés et une complicité très envisageable entre tou
Un Conseil de gouvernement se réunit, ce jeudi, sous la présidence du Chef du gouvernement Abdelilah Benkirane, pour examiner un projet de loi relatif à l'exercice de la médecine et un projet de décret réglementant les encouragements de l'Etat en vue de l'intensification de la production anima