Les besoins en Libye sont énormes, de quoi encourager les investisseurs marocains dans différents secteurs. Idriss Omrane Abdelhadi, président de la Chambre de commerce d’industrie et d’agriculture de Libye, nous a fait part, lors de la visite de la délégation libyenne au Maroc, de la volon
Après la chute du régime, la Libye est aujourd’hui un marché vierge qui a besoin d’investisseurs, en l’occurrence marocains, pour la reconstruction du pays. Driss Houat, président des Chambres de commerce d’industrie et des services au Maroc, revient sur les relations économiques entre
La Libye présente des opportunités d’investissement importantes pour les Marocains avec un marché estimé à 200 milliards de dollars de projets l'arrêt. Alafi Khalifa Othman, homme d’affaires et investisseur libyen, incite les Marocains à être les premiers à investir en Libye.- Finances
Les investisseurs marocains ont une réelle opportunité pour s’approprier les principaux marchés libyens estimés à 200 milliards de dollars. Des contraintes politiques et économiques freinent les opérateurs économiques nationaux à se lancer en Libye.
Pour Giulio Frascatani, le président de l’Union des Chambres de Commerce et d’Industrie Européennes au Maroc, il faut raisonner en terme d’espace méditerranéen. - Finances News Hebdo : Quel bilan faites-vous de la première journée de la visite du vice-président Antonio Tajani et la dél
Antonio Tajani, le vice-président de la Commission européenne chargé de l'Industrie et de l'Entrepreneuriat, se dit satisfait de sa visite au Maroc. - Finances News Hebdo : De cette visite de deux jours au Maroc, quelle est votre appréciation ? - Antonio Tajani : Un bilan très positif ! Nous
Quasi-stabilité des prix des actifs immobiliers au 3ème trimestre 2012 en glissement annuel, après une hausse de 1,9%. Baisse trimestrielle de 0,7%, reflétant la dépréciation des prix de l’ensemble des catégories. Repli du volume de transactions de près de 20% d’un trimestre à l’autre
Hausse de 0,3% de l’indice des prix à la consommation. Les prix des moyens de communication baissent de 20,3% au cours des dix premiers mois. La cartographie géographique de l’inflation en pleine mutation.
Les industriels ont produit plus, mais vendent moins et moins cher. Les stocks se maintiennent, alors que les commandes ne reprennent pas. L’environnement semble adéquat à une nouvelle baisse des taux.
Les marchés ont été cléments en 2012, mais rien ne les empêche de repartir à la hausse. Le gouvernement ne se couvre pas. Le contribuable continuera de payer les pots cassés.