◆ Lauréats de l’Institut national des beaux-arts (INBA) de Tétouan, leurs œuvres inédites sont dévoilées à Tanger, à Gallery Kent. Par R. K. Houdaïfa L’exposition «New Breath» explore une
Par la rédaction Contrairement à ce que le titre annonce, il n’y a dans ce roman ni confessions ni déclarations préliminaires. L’auteur a choisi de rester bien à la surface des choses. On aurait tort de voir là une autobiograph
Par Abdelhak Najib Monia Rizkallah n’est pas uniquement une immense violoniste, reconnue mondialement par les plus grands orchestres. Elle n’est pas seulement un véritable prodige du violon et une gloire à la fois en Allemagne où e
La lecture active l’éveil et diminue la paresse cérébrale. Conférencier et professeur d’espagnol à l’Académie de Versailles, en Ile-de-France, Abdelkhalek Hassini exerce dans le corps professoral depuis 30 ans. Le président d
«Il n'est en art qu'une chose qui vaille : celle qu'on ne peut expliquer». Georges Braque Il est dit que la vérité existe et que l’on invente que le mensonge. C’est au bout du compte cela l’équation entre l’artiste
◆ Quarante ans après sa naissance aux Etats-Unis, trente ans après son épanouissement en France, le hip-hop, dans sa composante rap, s’est imposé au Maroc et n’a pas manqué de motifs d’enthousiasme. Par R. K. Houdaïfa
◆ A Gallery Kent, les récents lauréats de l’Institut national des beaux-arts de Tétouan livrent avec ironie ou douceur leur vision du monde. Par R. K. Houdaïfa Ils sont fraîchement diplômés et se veulent avant tout artist
Les artistes peintres qui présentent leurs œuvres à la galerie Living 4 art laissent le visiteur repartir les yeux et l’esprit bien remplis. Indubitablement, l’expo doit son nom à un certain concept : «l’art est le ‘reflet&rsq
◆ Ils sont jeunes, très jeunes et, à peine arrivés, ils/elles réclament des cotes de grands. ◆ Prix excessifs des toiles ? Mercantilisme des galeries ? Les raisons de ce paradoxe sont nombreuses et complexes. Par R. K. Houdaïfa
Par Abdelhak Najib “L’homme qui tua la lune” de Abdallah El Amrani aux Éditions Orion. Abdallah El Amrani est journaliste. Tout au long des 400 pages de ce roman fleuve, nous ressentons cette verve journalistique qui s’ap