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L'introduction en Bourse de JLEC est réussie. Le management souhaitait lever 1 Md de dirhams pour financer le développement de la société et il a réussi à le faire. Seulement voilà , sur le marché secondaire, les choses ne se déroulent pas tout à fait comme prévu. La semaine de grâce, ce
Le ministère de l’Economie et des Finances a publié le mercredi 17 décembre l’appel d’offres relatif à l’ouverture du capital de Marsa Maroc. Il concerne la réalisation d’une mission d’évaluation et de placement à la Bourse de Casablanca. Il s’agit d’un projet de cession d’u
Le maréchal Hubert Lyautey est sans doute l’homme qui a largement orienté la politique marocaine du XXème siècle. Etant un fin connaisseur du pays dont il a été le premier Résident général, Lyautey jouissait d’une légitimité absolue. Sur le Maroc et ses habitants, on lui prête le cÃ
Au terme du premier semestre de 2013, les revenus des entreprises cotées ont baissé de 2,8%. La chasse au gaspillage, nouvelle mode à la Bourse de Casablanca et imposée par le climat économique actuel, a permis de limiter la casse avec un RNPG global stable par rapport au premier semestre de 2
Les perspectives de la Bourse ne sont pas prometteuses, du moins pour 2013. La conjoncture défavorable a impacté les sociétés cotées. Les prévisions des spécialistes et autres analystes de la place sont catégoriques. Les petits porteurs ont boudé la place et les institutionnels deviennen
Les conditions nécessaires pour maintenir une entreprise à la cote concernent principalement le respect des conditions et des engagements prévus en termes de capital et d’actions diffusées auprès du public. Par ailleurs, l’entreprise ne doit pas dépasser trois exercices sans distribuer de
L’actionnaire majoritaire de la Société chérifienne des engrais a décidé de retirer son poulin de la Bourse. La société, d’une taille relativement petite, est l’exemple type de ces entreprises cotées qui ne tirent pas d’avantages notables de la Bourse. La société n’a en effet ja
Avec un rendement de 4,6% sur la base des cours de la fin du mois de juillet, la place casablancaise paraît être l’une des plus généreuses des pays de la Méditerranée. Un point positif pour l’image de la Bourse de Casablanca, mais qui cache un mirage, celui de la concentration. Â
L’Europe et le Japon sont des économies vieillissantes par rapport à leurs principales rivales. Leurs systèmes économiques sont rigides et leurs politiciens donnent l’impression de prendre des décisions hâtives. Au final, cela se traduit par une crise économique qui perdure et un chômag
L'exclusion du Maroc de l'indice MSCI Emerging Markets et son reclassement au Frontier Markets suscite des appréciations diverses. Selon Ahmed Rahhou, PDG du CIH, «il y a deux lectures : d’un côté, ceux qui disent que cela va donner plus de visibilité à la Bourse qui, au lieu d’être… p