Le projet de Loi de Finances ne finit pas de faire jaser. Il semble accaparer l’attention de toutes les classes politique, économique et scientifique. Ce troisième PLF de Abdelilah Benkirane fait l’unanimité quant à son inefficacité à relever les défis qui se posent au Royaume. Le PI
Le manque de gouvernance, associé à la crise mondiale, a coûté deux à trois points de croissance au Maroc. L’achèvement des plans sectoriels, notamment exportateurs, est une urgence pour assurer des rentrées d’argent au pays. Une alternative compromise faute de pilotage économique. Ad
L'Association des fabricants de margarine (A.FA.MAR) n’est pas du tout contente ! En réaction au projet de Loi des Finances 2014, elle a exprimé, dans un communiqué, ses préoccupations par rapport à l’augmentation envisagée de la TVA sur la margarine, qui bondit de 14% à 20%. Cette aug
Tel qu’il se présente aujourd’hui, le PLF 2014 est loin de contenir des mesures à même de relancer la machine économique. Le projet reste pauvre en mesures à même de limiter le phénomène de l’informel. Le patronat tire à boulets rouges sur le Budget. J. Kerdoudi, président de l’I
Le saviez-vous ? 2014 sera une année difficile pour la politique publique. L’Etat souhaite dépenser 367,2 Mds de dirhams l’année prochaine, principalement en charges de fonctionnement (65%), parallèlement à des recettes attendues de 335 Mds de dirhams, dont un tiers provient des impôts in
La lettre de cadrage pour le projet de la Loi de finances (PLF) 2014, envoyée lundi aux différents départements ministériels, préconise une rigueur budgétaire pour tenter de rétablir les équilibres macroéconomiques, à travers une série de réformes structurelles des grands chantiers