SM le Roi Mohammed VI, a procédé, en début de semaine à Nouaceur, à l’inauguration de la plate-forme industrielle intégrée dédiée aux métiers de l’aéronautique et de l’espace Midparc, et au lancement de la construction, en son sein, de la première usine en Afrique du constructeur
Assouplir les conditions d’émission de la dette privée à l’instar des emprunts bancaires, mettre en place une base de données centrale pour prévenir les risques : ce sont, entre autres, des mesures qui peuvent permettre à la dette privée de jouer son rôle de levier pour accompagner le f
Les signes de la mauvaise conjoncture se précisent. Ces derniers temps, l’encours de la dette extérieure augmente, alors que le Maroc avait pu le stabiliser, voire le réduire il y a quelques années. Pour faire face à son déficit budgétaire, le Royaume a opté pour l’endettement afin de r
Le Maroc s’endette de plus en plus, son niveau devrait frôler les 60% à la fin de l’année 2013. C’est un indicateur à surveiller. La note du pays peut être impactée par les agences de rating, même si la dette extérieure est limitée à 13%. Il est clair que le Royaume commence à vivre
Un taux d’intérêt plus faible que lors de la précédente sortie. Une prime de risque plus élevée au moment de l’émission. Le choix de libeller la dette en Dollar judicieux.
Il s’agit d’un rallongement des amortissements et non d’une suspension. Longtemps convoités par les banques, les MRE trouvent de plus en plus de mal à se voir octroyer un crédit, notamment immobilier. Les recettes MRE sont en baisse de 3%.
Le stock de la dette extérieure publique s’est établi à 188,4 milliards DH, en baisse de 0,7 milliard DH par rapport à fin 2011, imputée essentiellement à la dette extérieure du Trésor. En ce qui concerne les tirages sur emprunts extérieurs publics, un volume de 0,8 milliard de DH a étÃ
La crise internationale a amené le Centre Marocain de Conjoncture à procéder à la réalisation d’un sondage d’opinion auprès des grands décideurs économiques privés. L’objectif étant de mesurer la perception par ces opérateurs des impacts ressentis en 2011 ou anticipés pour 2012.
Le Maroc paie en moyenne 4,7% d'intérêts pour sa dette. L’encours de la dette publique a atteint 494,33 milliards de DH à fin juin 2011. Sur ce total, 396,5 milliards de DH constituent la dette du Trésor (l’Administration); le reste étant dû, pour l’essentiel, par les entreprises et éta
BAM ne porte pas de dette souveraine au niveau du placement de ses réserves de change. «Nous n’allons pas placer dans des produits qui risquent de nous faire perdre notre capital», argue Jouahri. Trois critères de placement sont retenus, à savoir la sécurité du capital, la liquidité et le