La prévention du risque d’endettement, le ralentissement des ventes de voitures et la dynamique des banques, expliquent la baisse du rythme de production des sociétés de crédit. Mostafa Melsa, Directeur délégué de l'Association professionnelle des sociétés de financement, décline les cha
Bien que l’année 2010 ait marqué un recul de l’activité, le marché a été multiplié par 4 en l’espace de 7 ans. La facilité d’accès au crédit et la baisse des taux expliquent en grande partie cet essor.
Lancé depuis plus d’une année on assiste régulièrement à des bugs au cours de la consultation. La refonte du dispositif marocain de la centrale des risques en 2008 répond à une insuffisance du système antérieur.
Malgré un contexte marqué par une vive concurrence, Wafasalaf a vu son produit net bancaire financier progresser de 8,7% à fin 2010. Wafasalaf a maintenu sa position de leader sur le marché du financement automobile, avec une part de marché qui est passée de 32,5% en 2009 à 38,2% en 201
Le dispositif de Bâle III ne sera pas en mesure d’appréhender intégralement la dimension systémique du risque de liquidité. Au Maroc, Bâle II n’a pas encore fini d’être complètement déployé.
Le chiffre d’affaires a atteint 2,61 Mds de DH, en progression de 15%. Le groupe a adopté une nouvelle vision stratégique : Cap 2014.
Hausse du chiffre d’affaires consolidé de 0,8% et baisse du résultat d’exploitation de 12,5%. Le résultat net consolidé se replie de 10,2%.
Le chiffre d’affaires consolidé baisse de 1,6% et le résultat net consolidé se contracte de 9,8%. Perspectives plus optimistes pour l’exercice 2011.
Plusieurs sociétés cotées n’ont communiqué que le minimum légal lors de la publication des résultats annuels. L’information transmise aux investisseurs doit être fiable, compréhensible, de qualité et neutre.
L’activité de la CCG a doublé après l’adoption du Plan 2009-2012. Le Maroc occupe la première place de la région MENA en matière de garanties accordées.