2024 a connu un tournant pour ce marché tant attendu des créances en souffrance, où la Banque centrale a pris le taureau par les cornes pour avancer sur ce dossier épineux où les intervenants sont multiples. Une réforme annoncée par le wali de Bank Al
La réforme des CES marque une étape décisive pour le secteur bancaire marocain. Elle permettra aux banques de se concentrer sur leur cœur de métier, tout en offrant aux investisseurs une plateforme transparente et structurée. À terme, ce projet pourrai
Bank Al-Maghrib a récemment réuni à Casablanca l’ensemble des acteurs de l’écosystème financier pour discuter des apports de la future loi qui encadrera le marché secondaire des créances en souffrance. Une réforme annoncée pa
Alors que les concours au secteur non financier ont connu une légère régression, notamment dans les prêts aux sociétés non financières privées qui ont retrouvé leur niveau de février 2023 après une baisse initiale, les cr&ea
Le taux de sinistralité moyen dans le secteur bancaire s’est ainsi établi à 8,4%, légèrement inférieur à celui de l’année précédente situé à 8,6%, indique le rapport, publié par Bank Al-Maghrib (BA
Alimenté par les effets des crises, l’encours des créances en souffrance est passé de 84,8 milliards de DH à fin 2021 à 89,5 milliards de DH à fin 2022, soit une augmentation de 5,5%. En fait, le chiffre n’a cessé de grossir depuis 2021, après une
Les banques marocaines cumulent quelque 89 milliards de dirhams de créances non performantes à fin juillet 2022. Ce qui représente 7,3% des encours de crédit à l’économie et 8,8% du crédit bancaire (dont le financement participatif). Ce chiffre
Alimenté par les effets de la crise sanitaire, le stock de créances en souffrance ne cesse de grossir au Maroc. D’un côté, il pèse sur la rentabilité des banques, et de l’autre, il entrave leur capacité à financer proprement l’
Dans son récent rapport sur la politique monétaire, BAM précise que ces créances se sont accrues de 7,3% pour les entreprises non financières privées et de 8,9% pour les ménages, avec des ratios à l'encours du crédit de 11,7% et de
Le recours à la revente des créances en souffrance est aujourd’hui indispensable. Toutefois, plusieurs facteurs juridiques, fiscaux et institutionnels bloquent l’avancée du projet de création d’un marché secondaire. Par Y. Seddik