Forte progression de l’activité Paiement, notamment via internet. Les retraits d’espèce dominent toujours largement les opérations par cartes bancaires. Le CMI fait le point sur les grandes tendances de l’activité monétique au premier se
Le CMI relève une progression fulgurante du paiement via Internet. Idem pour les opérations par cartes bancaires marocaines à l’étranger. Voilà une activité qui n’est concernée ni par la conjoncture économique
L’environnement au sein duquel évolue la monétique mondiale a connu de grands chamboulements, qui ne manqueront pas de toucher le Maroc. Le e-commerce enregistre une croissance fulgurante en 2015, année qui a connu la mise en service du paiement mobile, mPOS, par le CMI. L’activité monéti
10,9 millions de cartes bancaires émises, +20% de paiements et +18,5% pour le montant global des paiements, l’activité monétique a enregistré une croissance soutenue en 2014. Encours des cartes, activité monétique globale au Maroc, activité des commerçants et sites marchands affiliés au
L’ouverture du marché des paie-ments électroniques annoncée par Bank Al-Maghrib devrait per-mettre l’apparition de nombreux services à valeur ajoutée qui faciliteront la vie des utili-sateurs de cartes bancaires.
DCC, détaxe, gestion de fidélité, e-commerce, … le Centre monétique interbancaire apporte des services diversifiés à sa clientèle qui l’est tout autant.
Retour sur les évolutions d’une décennie d’activité du CMI.
Le paysage monétique est appelé à changer en 2014, puisque d’autres opérateurs se préparent à intégrer le marché de l’acquisition monétique. Trois nouvelles plateformes de paiement (PSP) viendront concurrencer Maroc Télécommerce et proposeront leurs services aux e-marchands très proc
À travers les chantiers de développement entrepris, Netps revient en force pour mieux se positionner sur un marché longtemps sous monopole.Le spécialiste en systèmes de paiement vient d’investir 50 MDH pour la réalisation d’une nouvelle unité de production.Netps envisage de doubler son ch
Toutes les innovations sont, aujourd’hui, bonnes pour capter les flux qui échappent au circuit bancaire, mais aussi pour bancariser les 8 millions de Marocains qui ne le sont pas encore. 18.800 commerçants sont concernés.