La Bourse de Casablanca lance aujourd’hui une large campagne de communication ciblant, dans un premier temps, les entreprises avant d’entamer la deuxième étape qui sera destinée aux investisseurs.
La Bourse de Casablanca est toujours en berne. Son indice phare a bouclé le premier semestre en baisse de près de 9%. Cela vient après un recul de près de 13% en 2011.
Le gouvernement a décidé de revoir à la hausse les bourses d’études. Elles seront revalorisées de 200 DH pour les étudiants en licence et de 300 DH pour ceux du master et du doctorat.
Un protocole d’accord entre «The CityUK» et le «CFC» est en cours de préparation. La place marocaine présente des atouts et opportunités non négligeables pour les investisseurs étrangers. La pression des problèmes de liquidités se fait sentir.
Afin de développer le marché boursier marocain, la Bourse de Casablanca mène actuellement une étude consacrée à son image auprès de personnalités influentes, pour mieux connaître leurs avis, connaissances et expériences.
D’après une étude réalisée sur les habitudes de consommations nationales plus de 64% des femmes marocaines souffrent de problèmes intestinaux. Pour remédier à ce problème, Activia est un élément qui répond efficacent à ce problème perturbant grâce à la présence exclusive d’une so
■ L’offre spéciale PME lancée par la BVC a t-elle atteint son objectif ? ■ Malgré toutes les mesures incitatives, l’année 2011 n’aura enregistré que 3 introductions en Bourse.■ Les trois nouvelles recrues ont participé à hauteur de -0,04% dans la contre-performance affichée
La Bourse de Casablanca a publié un nouvel avis relatif aux procédures de réservation à la hausse ou à la baisse des valeurs cotées. Ce dernier entrera en vigueur à partir du 2 janvier 2012. Ainsi, les valeurs cotées peuvent être gelées par la Bourse de Casablanca suite à une réservation
■ La conjoncture internationale hostile, accompagnée d’un marché boursier marocain baissier, joue contre la reprise du dynamisme de la place.■ Le timing des IPO et la taille de l’opération sont parmi les raisons qui expliquent le manque de succès des introductions en Bourse.
■ Le marché est resté indifférent en 2011 à l’égard des résultats macroéconomiques positifs en début d’année. ■ L’aspect psychologique conditionne en quelque sorte les décisions des investisseurs.