La finance islamique (dite alternative) est plus que jamais un thème d’actualité au Maroc et connaît aujourd’hui un intérêt certain de la part des autorités et acteurs financiers. Cejefic Consulting, cabinet d’experts spécialisés en finance, ayant formé près de 200 professionnels en
■ La Société islamique pour le développement veut accompagner le développement de la finance islamique au Maroc.■ Ses exigences risquent cependant d’être un frein à l’essor de son activité dans le Royaume.
■ Les inégalités croissantes entre pays ont été à l’origine de l’avènement de la crise, les subprimes représentant juste un moyen de transmission.■ Un modèle de croissance réajusté, une bonne gouvernance et une union solidaire sont les principaux axes pointés du doigt par Domini
■ Le projet de loi a amendé dix articles de la loi 44-10.■ Les principales dispositions de ce projet d’amendement de la loi CFC visent l’élargissement des activités éligibles au statut CFC.
Le CDVM vient de publier un document sur la finance islamique. Il est composé de cinq principales parties. Les deux premières sont axées sur la définition, l’historique, le développement de la finance islamique, ainsi que les produits et montages utilisés.
La Caisse centrale de garantie a participé aux travaux du Forum du partenariat sous le thème «La Finance au service de l’Afrique» organisé les 15 et 16 septembre 2011 par la Banque africaine de développement (BAD) et la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (UNECA), à Ad
La population éligible représente plus de 15% des habitants, concentrée essentiellement dans le monde rural. L’expérience du microcrédit a donné des enseignements qu’il faut exploiter pour investir ce nouveau créneau. A l’image de l’essor du microcrédit au Maroc, quel
100 ha lui seront dédiés. Le projet sera opérationnel à partir de 2014, mais les entreprises peuvent y travailler dès l’année 2011.