En 2019, l’Etat compte récolter 5 Mds de DH à travers la cession de certaines de ses participations au secteur privé. Benchaâboun veut profiter des privatisations budgétisées pour dynamiser le marché boursier. Nous y som
Contexte social tendu, recettes fiscales en berne, contexte international trouble, baril du pétrole qui repart à la hausse, déficit budgétaire qui glisse dangereusement : la Loi de Finances 2019 a été élaborée dans des conditions part
Bank Al-Maghrib met en ligne un site pédagogique afin d’expliquer les missions de la Banque Centrale et familiariser le grand public avec la culture monétaire et financière. Le site est doté d’une ergonomie simplifiée pour faciliter la navigat
Siège Maroc Telecom. photo : S. Zefri Défensive par excellence, Maroc Telecom a historiquement fait mieux que la moyenne du marché actions en périodes de baisse. Un constat qui se reproduit en 2018. Valeur de père de famille à
La contribution des entreprises publiques au budget général de l'Etat serait de 9,8 Mds de dirhams en 2018 contre 7,9 Mds en 2017. Ce chiffre devrait dépasser les 11,4 Mds de dirhams en 2019. L’Etat compte beaucoup sur ses ét
L'Etat marocain n'a pas été très bavard sur les actifs qu'il a titrisés lors de l'émission de son premier Sukuk souverain. Le Trésor, habitué à ne pas présenter de notes d'information ou d'autres documen
L’Autorité Marocaine du Marché des Capitaux (AMMC) en partenariat avec la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM) a organisé, mercredi 24 octobre à Casablanca, une conférence sur le thème : &la
Mohamed benchaâboun, ministre de l'économie et des Finances, lors de la conférence de presse de présentation du PLF 2019. Photo : Sohaib Zefri/FNH Le Maroc va sortir sur le marché international de la dette début 2019. Les professionnels
Le Groupe Crédit agricole du Maroc a clôturé avec succès l’émission d’un emprunt obligatiare subordonné d’un montant de 500 millions de DH. Les institutionnels et notamment les compagnies d’assurance et les fonds de placem
Pas de potentiel de hausse sur les actions au S2. Une hausse des taux au second semestre prévisible. L’aversion au risque sur le marché casablancais ne se dément pas. Ce dernier évolue dans un troisième trimestre de baisse cons&eacut