Le groupe Fiat a dévoilé le plan-produit pour les trois prochaines années : Lancia devra patienter jusqu’en 2015 pour accueillir une nouveauté au catalogue et les modèles Chrysler rebadgés se chargeront d’animer le catalogue pendant cet intervalle.
C’est un carrefour entre les constructeurs, les équipementiers de différents niveaux et les sous-traitants L’événement veut profiter de la nouvelle place qu’occupe le Maroc dans l’industrie automobile.Devenue un rendez-vous incontournable après le succès des précédentes éditions, la
Le nombre de participants devrait dépasser largement celui des précédentes éditions. Le développement du secteur auto au Maroc n’a pas de lien avec la crise. Explication de Hakim Abdelmoumen, président de l’AMICA.
Le véhicule est robuste à l’extérieur et généreux à l’intérieur pour un tarif contenu. Prix de lancement à partir de 119.900 DH.Sopriam, importateur exclusif de la marque au Maroc, vient de lancer, à l’instar de plusieurs pays émergents dans le monde, la 301. Un véhicule à prix con
Nous avons pour objectif d’écouler 4.000 véhicules sur une année pleine. Éclairage de Loïc Morin, PDG de Sopriam, importateur exclusif de Peugeot au Maroc.
Malgré les propositions formulées par l’ICPC à l’adresse des pouvoirs publics, la situation du Maroc en matière de lutte contre la corruption ne s’est pas améliorée de manière significative. La politique poursuivie à cet effet est jugée sans dimension stratégique et dépourvue d’un
Par sa taille, le secteur pharmaceutique marocain occupe la 2ème place à l’échelle africaine. La consommation annuelle par citoyen s’élève à 450 DH. La Maroc attire les géants mondiaux de l’industrie pharmaceutique.
Le salon accueillera cette année 180 exposants, dont 90 entreprises marocaines. Participation d'une délégation algérienne. 57% des entreprises marocaines ont augmenté leur investissement IT en 2012. Le directeur des systèmes d’information reste le principal décisionnaire en matière d’inv
Des compagnies ont réduit leurs offres à destination du Maroc. Crise économique, hausse des prix du carburant et des taxes aéroportuaires sont les principales causes évoquées. Le Maroc devrait chercher de nouvelles incitations pour séduire les compagnies, surtout celles low cost.
Avec un chiffre d’affaires de 30 Mds de DH à l’export et une estimation du C.A de 40 Mds de DH du marché local, le secteur du textile et de l’habillement n’assume toujours pas son rôle de locomotive. Le benchmarking entre les modèles de l’industrie textile marocain et turc montre que