Abdelouahed Souhail, ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, accorde un intérêt particulier aux conventions collectives pour résoudre les conflits sociaux.
Le nouveau port de Boujdour, dont le coût de réalisation s'élève à 400 MDH, entièrement financé par des fonds publics propres, est actuellement fin prêt et attend d’être inauguré. Pas moins de 800 barques de pêche côtière et artisanale, d'une capacité de quatre à cinq personnes c
Christine Lagarde a contribué, à partir de l’Assemblée du printemps du FMI, à la seconde édition des Assises sur la fiscalité qui ont eu lieu lundi dernier à Skhirate. La directrice du Fonds monétaire internationaI a tenu, en premier lieu, à rappeler le rôle que joue la fiscalité dans
Le secteur primaire tire son épingle du jeu jusqu’à présent grâce à la bonne campagne agricole et à la pluviométrie satisfaisante cette année. Les barrages affichent un taux de remplissage de 91% au 27 mars 2013, contre 68% l’année dernière. La pêche côtière et artisanale s’est
ACWA Power Ouarzazate a adjugé, le lundi 29 avril, un contrat EPC au consortium espagnol composé d'Acciona, Sener et TSK pour construire la Centrale de production indépendante (IPP) à énergie solaire concentrée (CSP) à capteurs cylindro-paraboliques de 160 MWe de Ouarzazate. Le constructeu
480 certificats négatifs ont été délivrés en mars dernier, par la délégation du Commerce et de l'Industrie et le CRI de Marrakech, pour la création d'entreprises, soit 97 % des 493 demandes déposées. Les SARL viennent en 1ère position avec 374 certificats. L'analyse du nombre de certific
C'est la deuxième campagne agricole du Maroc de tous les temps. Avec 97 millions de quintaux de récoltes prévisionnelles, la saison n'est pas loin des 102 millions réalisés il y a quelques années. C'est un résultat réconfortant pour le pays en cette période de crise, du fait que ce bilan f
Le retard de la réforme de la Caisse de compensation coûte cher au Maroc. C'est l'un des facteurs majeurs causant le dérapage des finances publiques. Le déficit est arrivé à des niveaux alarmants. Pour le contenir, le gouvernement est obligé de sacrifier des milliards destinés à l'investis
• Le gouvernement soutient que la coupe budgétaire s’explique par le risque de dérapage du déficit public en 2013. • Ce risque provient de la baisse de 3,3 milliards de dirhams des recettes fiscales constatées au premier trimestre 2013, et du report des investissements publics. • L
• Face à 40 ambassadeurs et à leurs interrogations, le ministre délégué auprès du ministre de l'Economie et des Finances chargé du Budget, Driss El Azami, a brossé la situation actuelle de l’économie marocaine. λ Il a insisté sur les potentialités de croissance qu’elle recèle m