El Othmani a indiqué lors de la séance mensuelle de questions orales sur les politiques publiques à la Chambre des conseillers, qu’ «aucun d’entre nous ne souhaite le retour à un confinement en raison de ses répercussions économiques, sociales et psychologiques. Mais cela reste une option possible si la situation devient incontrôlable. Cela dépend aussi de l'étendue de notre engagement, en tant qu'individus et groupes, à l'application des mesures de précaution dictées».
Et d’ajouter : «En toute sincérité, la situation épidémiologique est préoccupante, mais grâce aux efforts collectifs et aux sacrifices du corps médical national, elle n'est pas encore devenue incontrôlable», notant dans le même contexte, la grande pression que le système de santé subit actuellement.
Par ailleurs, il a souligné que toutes les décisions prises par le pays sont considérées comme des décisions nationales souveraines, qui sont fondées sur des données précises, expliquant qu'il existe des comités scientifiques qui suivent, évaluent, suggèrent et prennent les décisions nécessaires.