L’institution de Imarat Almouminine n’a jamais été considérée comme neutre dans l’exercice du pouvoir.
L’actuelle réforme consiste non seulement à diminuer les pouvoirs du Roi, mais de les préciser aussi.
Au Maroc, il y a la ruse du «fakih», elle laisse tellement les textes vagues que cela brouille leur interprétation.
Le point avec Mohamed Galaoui, professeur de sciences politiques à l’Université Hassan II de Casablanca.