S’appuyant (quelque peu) sur des éléments exceptionnels pour améliorer son bénéfice net semestriel, la Banque du cheval a (surtout) profité d’une bonne tenue de ses indicateurs commerciaux pour assainir son portefeuille. Résultat : un provisionnement élevé, un portefeuille visiblement bien assaini, mais des agrégats financiers qui évoluent favorablement.