Les dernières statistiques du Haut commissariat au plan confortent encore le caractère volatile de la croissance au Maroc. Certains analystes enfoncent le clou pour dire qu’elle est tout simplement imprévisible, car largement arrimée à l’activité agricole avec ses aléas pluviométriques. D’un trimestre à l’autre, la croissance est passée en glissement annuel de 4,5% au dernier trimestre de 2013 à 2,5% en ce début d’année (premier trimestre 2014).