En 2003, il existait 130 comptes spéciaux au Maroc contre 79 seulement en 2013. Ces comptes gérés par le ministère des Finances font l’objet de polémiques, car ils ne respectent pas les règles budgétaires de base tout en échappant au contrôle. Une opacité nécessaire pour certains, anticonstitutionnelle pour d’autres. Quoiqu’il en soit, leur nombre baisse et leur gestion est de plus en plus transparente.