En parallèle à cette déclaration d’intention, l’AMRC a pris part aux travaux de la Commission sociale de la CGEM qui se penche actuellement sur une proposition de cadre juridique du télétravail destiné à être partagé avec le ministère du Travail et les partenaires sociaux.
L’Association marocaine de la relation client (AMRC) affiche sa détermination à instaurer le «télétravail» comme modalité de travail aux collaborateurs du secteur.
Cette détermination s'est traduite sur une «déclaration d'intention», qui définit les 12 engagements sur lesquels devront s’appuyer les membres signataires pour mettre en œuvre le télétravail dans les meilleures conditions.
La déclaration d'intention de l’AMRC propose un ensemble d’orientations visant l'accessibilité du télétravail aux collaborateurs dans le total respect des valeurs de l'AMRC. En effet, en l'absence d'un cadre juridique spécifique réglementant le télétravail au Maroc, l’AMRC a initié un ensemble de dispositions pratiques permettant à ses membres de poursuivre le télétravail au-delà de la crise de la Covid-19 .
«Cette déclaration donne des orientations sur les bonnes pratiques en matière de télétravail, elle est largement inspirée par les valeurs d'éthique et de responsabilité sociale de l’AMRC visant l'accessibilité à l'emploi, la diversité, la décentralisation des régions, l'employabilité des femmes et l'inclusion des personnes en situation de handicap», indique l’AMRC dans un communiqué.
En parallèle à cette déclaration d’intention, l’AMRC a pris part aux travaux de la Commission sociale de la CGEM qui se penche actuellement sur une proposition de cadre juridique du télétravail, destinée à être partagée avec le ministère du Travail et les partenaires sociaux et qui pourrait faire l'objet d’une adaptation du code du travail actuel.
«Notons que le secteur de la relation client, qui emploie plus de 80.000 personnes, s’est rapidement adapté à la crise Covid-19 en mettant plus de 40.000 salariés en télétravail, et qui le sont encore», explique la même source.