Les défenseurs de la politique monétaire de BAM estiment que celle-ci devrait changer son fusil d’épaule et mener une politique de flexibilité croissante du taux de change et une plus large convertibilité du billet de banque. Ce qui lui permettrait de s’affranchir de l’objectif extérieur. Ces critiques n’empêchent pas le professeur Mohammed Akaaboune, rompu à la politique monétaire marocaine, de reconnaître que la stratégie adoptée (régime de change intermédiaire) par l’autorité monétaire est plus appropriée à la configuration économique du pays en comparaison avec les deux extrêmes (régime de change fixe ou flexible).