• Plusieurs facteurs ont poussé la BAD à revoir sa politique d’acquisition de biens, travaux et services, notamment la recherche de plus de souplesse, plus d’efficience, et une réponse à la complexité des projets et aux spécificités des besoins… sans pour autant sacrifier les normes fiduciaires. Des consultations ont eu lieu dans une quarantaine de pays membres, dont le Maroc, pour dégager les pistes d’amélioration possibles. • Yacine Fal, représentante de la Banque africaine de développement au Maroc, estime que la réforme passe par une meilleure prise en considération des systèmes nationaux en la matière.