En dépit de la grogne sociale, il est nécessaire de prendre des dispositions importantes pour réduire le déficit de la Caisse de compensation.
La faute incombe aux précédents gouvernements qui n’ont jamais osé toucher aux prix des carburants.
La dynamique de croissance prise en otage.
Le président de l’Institut Marocain des Relations Internationales plaide pour la hausse des prix des carburants.