Le contrat-programme du secteur des assurances n’est pas encore sorti. Les professionnels attribuent ce retard en partie aux bouleversements qui touchent la scène politique.
Du e-banking au M-banking, le groupe a développé une large gamme de services à distance pour assurer un service de qualité et de proximité. Les nouvelles technologies permettent d’étendre les services tout en maîtrisant le coût.
L’APSF pointe du doigt l’intérêt grandissant des banques pour le crédit à la consommation. La profession propose des mesures pour y remédier.
Il s’agit d’une formule de crédit d’investissement apportant une offre de financement complémentaire aux subventions de l’Etat. Le programme d’appui consiste à soutenir la croissance et à améliorer la compétitivité des PME.
La décision prise par le GPBM relative à la remise des chèques barrés et non endossables aux clients patentés s’inscrit dans le droit-fil d’un certain nombre de dispositions fiscales. Malgré les mesures de facilitation que prévoit le GPBM pour l’amélioration du taux de bancarisation, l
Un encours de 900 MDH seulement en 2010.
Ces instruments d’épargne permettent de faire fructifier le revenu, d’être éligible à la propriété ou de préparer le financement de l’éducation des enfants. Le dispositif prévoit des exonérations fiscales importantes et incitatives.
70% de l’épargne au Maroc sont constitués de placements liquides à court terme qui ne permettent pas le financement d’investissements structurants. Les mesures mises en place par le gouverneur de BAM pour remédier à cette problématique de la sous-liquidité bancaire, comme la baisse du tau
12 institutions de micro-crédit, dont 2 filiales bancaires, se partagent le marché. Objectif : 3 millions de bénéficiaires à l’horizon 2020.
Le marché à terme sera destiné en premier aux institutionnels. Il devrait entrer en vigueur cette année.