Depuis que le système bancaire marocain pâtit du tarissement de liquidités (passage de 49 Mds de DH en 2012 à 78 Mds de DH à fin 2013), une frilosité des banques prédomine quant à l’octroi de prêts aux PME. Au demeurant, les deux mesures phares prises par BAM en juin et décembre dernier
Rachid Idrissi Kaïtouni, Président de Somas, revient sur la particularité du nouveau site.
Sur 500.000 entreprises bancarisées au Maroc, seul 1/3 des entités recourt au crédit. Les PME restent victimes d’une communication peu adéquate et d’un problème de confiance de la part des banques.
La Caisse centrale de garantie (CCG), l’Agence française de développement (AFD) et Bpifrance (Banque publique de France) viennent de signer un protocole d’accord pour doter les trois institutions d’un cadre approprié pour leur coopération future.
Si, au Maroc, la finance participative en est encore au stade de «curiosité» qui nécessite d’être étudiée, ficelée puis expérimentée, à l’international elle devient un véritable levier de financement, et ce même dans les pays non musulmans. A ce titre, des experts se sont récemmen
La CGEM Région Chaouia-Ouardigha a organisé en partenariat avec la Banque Populaire, l’ANPME et la Délégation de l'Industrie et du Commerce de Settat, un séminaire, le 13 juin 2013, dont l'objectif était de sensibiliser autour des «Outils d'accompagnement et de financement des entreprisesÂ
Le Comité exécutif du Fonds pour les technologies propres (FTP), l’un des instruments des fonds d'investissement climatiques dont la mission est de promouvoir le déploiement à grande échelle des énergies renouvelables, vient d’approuver un financement concessionnel de 218 millions dollars
L’accord s’inscrit dans le cadre du Programme d’aide aux échanges commerciaux (PAEC).
La CGEM région Chaouia-Ouardigha et l'Université Hassan 1er de Settat organisent, en partenariat avec la BERD et le ministère de l’Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, un séminaire sur «Les outils d'accompagnement et de financement des entreprises de la région Chaouia-O
Bank Al-Maghrib adopte une stratégie réactive pour répondre aux besoins de financement. Mais en temps de crise, la baisse des taux d’intérêt reste insuffisante pour déclencher une dynamique économique. Le point avec Otmane Gair, économiste, président du Centre d’études et de recherches