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Une action caritative baptisée «Bach may 7essouch bel fer9» a été lancée par Eqdom en collaboration avec l’Association marocaine de l’orphelin (AMO).
Objectif : appuyer les orphelins en matière d’enseignement pour une rentrée scolaires dans les meilleures conditions.
Younes Benboujida, directeur général d’Eqdom, a tenu ce vendredi une conférence de presse afin de présenter la nouvelle initiative de son groupe sous le nom de «Bach may7essouch bel far9», en collaboration avec l’Association marocaine de l’orphelin (AMO). L’objectif de cette initiative est d’aider les orphelins à démarrer leur année scolaire dans les meilleures conditions, mais aussi leur garantir un avenir meilleur.
Y. Benboujida, a fait appel durant son discours à la générosité du grand public pour appuyer cette action et pouvoir atteindre les objectifs de l’association, expliquant que les dons se feront en ligne sur la plateforme www.eqdomcollecte.ma, sous formes de fournitures scolaires pour garantir la transparence de l’action. La collecte et la distribution seront à la charge d’Eqdom, en collaboration avec l’AMO.
Pour chaque fourniture offerte par un donateur, Eqdom s’engage à faire un don équivalent au profit des enfants de l’association.
Durant cette conférence, des témoignages poignants ont été faits, notamment ceux de Mounia Benchekroune, fondatrice de l’association «Kane ya ma kane» au profit des femmes dans les régions rurales, et de Yassine Rafia Benchekroune, fondateur de l’association AMO en faveur de l’enfance vulnérable. Ils ont tous les deux qualifié cette initiative de «rare» en son genre pour une entreprise marocaine privée, rappelant que 80% des dons viennent de l’étranger selon Mounia Benchekroune.
Eqdom a une politique RSE (Responsabilité sociale des entreprise) qui se penche principalement sur l’instruction et l’enseignement. Elle a auparavant équipé de bibliothèques 22 écoles publiques et vise à accompagner les 30.000 orphelins qui vivent une rentrée scolaire difficile vu le manque de fournitures et de cartables, ce qui les mène souvent à l’échec et l’abandon scolaire.
Par Chaimaa Abounaim
