70% de l’épargne au Maroc sont constitués de placements liquides à court terme qui ne permettent pas le financement d’investissements structurants.
Les mesures mises en place par le gouverneur de BAM pour remédier à cette problématique de la sous-liquidité bancaire, comme la baisse du taux de la réserve monétaire ou encore le maintien du taux directeur à 3,25% sont surtout des réponses conjoncturelles.