Des coûts d’approvisionnement qui explosent, des distributeurs qui préfèrent importer et une demande locale qui stagne sont autant de contraintes qui pèsent sur l’activité de la Samir. L’unique raffineur du pays se trouve en situation de surproduction et traîne une perte sèche de plus de 300 MDH et des dettes de financement de 9,5 Mds de dirhams. Comment s’en sortir ? Le management vient de donner des pistes à l’occasion de la présentation des résultats de la société.